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Découvrez Benjamin Philippe, parrain de l’association Démos.
Quel poste occupez-vous chez RTE, comment avez-vous connu la Fondation RTE et de quelle association êtes-vous parrains ?
Je parraine le projet d’orchestre de jeunes Démos Thouarsais dans les Deux-Sèvres depuis 2021. Cet orchestre réunit une centaine d’enfants de différentes communes rurales autour d’un projet socio-culturel ambitieux, sous l’égide de la Philharmonie de Paris.
Lorsque je suis devenu parrain - en même temps qu’Anthony, mon binôme-parrain du projet, j’étais manager au service Maintenance du GMR Anjou (Saumur). C’est l’appel à parrainage qui a été le déclic pour rejoindre l’aventure ! J’avais déjà entendu parler de la Fondation via la communication interne, parrainer le projet Démos Thouarsais était l’opportunité de passer à l’action. Aujourd’hui, j’occupe un poste dans les études de réseaux à Lille, tout en poursuivant mon engagement auprès de cet orchestre.
Quel est votre rôle ?
Les orchestres Démos se distinguent dans les projets de la Fondation RTE car ils s’appuient sur un vaste tissu de ressources. En tant que parrain, ma contribution n’est donc pas nécessairement opérationnelle : je représente avant tout la Fondation auprès des porteurs de projet. Cela implique d’échanger régulièrement pour un bon accompagnement, d’identifier les objectifs et les obstacles à chaque étape et, bien sûr, de célébrer les réussites ! Je fais donc mon maximum pour être présent aux temps forts de l’orchestre Démos Thouarsais.
Parlez-nous d’une de vos fiertés en tant que parrain
D’abord et avant tout, je suis très heureux de contribuer à l’existence de cet orchestre ; qui résonne avec mes valeurs humaines et mon expérience personnelle de la musique. Par ailleurs, les orchestres du Kreiz Breizh (autre projet soutenu par la Fondation RTE) et Thouarsais sont en quelque sorte « jumeaux », car ils ont éclos au même moment. Avec Anthony, nous avions rapidement envisagé un rapprochement entre les deux projets, et l’idée se concrétise en 2024 avec une rencontre à Thouars en avril, et un concert en commun cet été, ce qui est inédit dans l’histoire de Démos ! Via la Fondation, nous rapprochons deux projets distants de plusieurs centaines de kilomètres. C’est une très belle histoire qui s’écrit.
Comment avez-vous intégré votre rôle de parrain dans votre quotidien ?
La notion de quotidien est à nuancer, il n’est pas nécessaire d’allouer du temps chaque jour au rôle de parrain. C’est un engagement personnel où chacun s’investit à la hauteur de ses possibilités. En ce qui me concerne, je m’assure d’être en contact étroit avec l’orchestre par ma présence aux événements et en communiquant fréquemment avec ses acteurs. J’échange aussi avec le réseau de la Fondation RTE. Ces activités ne m’empêchent pas d’avoir également de nombreuses occupations professionnelles et personnelles à côté !
Que vous a apporté votre rôle de parrain tant sur le plan personnel que professionnel ?
Beaucoup de choses ! Pour aller à l’essentiel, les échanges avec les acteurs des projets, mais aussi avec Anthony et les autres membres de la Fondation RTE sont très enrichissants. Cela m’apporte humainement beaucoup.
Par ailleurs, dans un monde où le sens au travail devient une priorité, s’engager dans l’économie sociale et solidaire est porteur de beaucoup de sens. À travers ce projet, j’ai le sentiment d’avoir un rôle complémentaire à jouer, en plus de mes missions au sein de RTE. Sans entrer dans le cliché de vouloir « bâtir un monde meilleur », je crois sincèrement que le projet auquel je participe est un moteur de l’innovation sociale.
Que conseilleriez-vous aux salariés de RTE qui souhaitent devenir parrain ?
Je pense qu’il n’y a pas de recette universelle pour être parrain. Sans avoir d’ingrédient secret à révéler, je serais ravi d’échanger avec toute personne intéressée par le parrainage, et je ne peux qu’inviter à entrer en contact avec la Fondation : dans toutes les régions, il y a des membres de la Fondation RTE prêts à partager leur expérience !